Restauration Collective

Outre-mer : La Guadeloupe dévoile son compte-rendu du Cralim 2024

© Cralim/DAAF Guadeloupe

La DAAF Guadeloupe a rendu public en juin dernier le rapport du dernier Cralim où il a été question de territorialisation, de PAT, mais aussi de restauration scolaire.

 

Organisé le 7 juin dernier à la DAAF de Saint-Phy en Guadeloupe, le Comité régional de l’alimentation (Cralim) a dévoilé son dernier compte-rendu. Cette instance de concertation, de coordination et de dialogue a réuni les acteurs locaux de l’alimentation, dont les services de l’État, les collectivités territoriales, ou encore les organisations professionnelles. Le compte-rendu est articulé autour de 4 points clés et analyse à travers eux les grands enjeux de la restauration collective.

Apporter de la valeur ajoutée
En ouverture, il a été admis que la restauration collective est un levier fondamental pour faire évoluer les pratiques alimentaires, réduire les inégalités, mais aussi apporter de la valeur ajoutée, notamment aux filières de qualité comme l’agriculture biologique. Rappelant les échéances de la loi Egalim en Outre-mer (voir encadré), la DAAF a précisé que ces dispositions étaient devenues une politique prioritaire du gouvernement en 2023. Il est ainsi important, pour en évaluer les effets, de poursuivre les inscriptions sur la plateforme « Ma cantine » (ma-cantine.agriculture.gouv.fr).

Développer l’approvisionnement local
En 2e partie, les résultats d’une étude sur le panorama de la restauration collective publique en Guadeloupe ont été révélés. Menée par le groupement des cabinets Qualistat et Antony Maragnes, elle a pour finalité

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