Si le contexte s’annonce un peu particulier avec les grèves du mois de décembre, les repas qui marquent la fin de l’année sont avant tout des moments de convivialité, d’animation, et l’occasion de proposer des menus plus élaborés dans un esprit festif.
Dossier réalisé par Karine Averty
En entreprise, au restaurant scolaire ou universitaire, à l’hôpital, en maison de retraite, les repas festifs, le plus souvent accompagnés d’une décoration adéquate (du rouge et vert de Noël aux parures argentées ou dorées, avec affichage, guirlandes…), sont un incontournable pour rassembler, partager et apprécier des mets plus élaborés que d’habitude. L’an dernier dans les restaurants scolaires du 17e arrondissement de Paris, le menu de Noël organisé le 20 décembre avait conjugué Baguette artisanale, Guacamole et chips tortilla, Chapon sauce forestière et pommes de terre grenailles, Fromage, Entremets croustillant aux 3 chocolats, sans oublier les Chocolats de Noël. Ce repas sera cette année encore très attendu, mais avec sans doute des difficultés d’organisation liées au contexte de grève. Pour cette période, « nos fournisseurs proposent essentiellement des produits festifs, et pour certains des opérations commerciales permettant de bénéficier de chocolats gratuits pour un certain montant d’achat. Nous achetons généralement des volailles de Noël farcies ou non, des chocolats, et un dessert festif », indiquent Sylvie Dauriat, directrice de la Caisse des écoles du 17e, et Urielle Destrez, diététicienne, responsable service alimentation. « Pour les plats qui nécessitent