Quels que soient les dirigeants politiques, le scénario reste constant, les bons sentiments subissent un traitement magique : vouloir imposer ses idées par la contrainte théorique de la loi. Cela fait plaisir aux formalistes qui pleurent le travail terminé lorsqu’il a été réalisé « en théorie » ou potentiellement. Quant aux réalistes, ils ne se fatiguent plus à comptabiliser les textes obligatoires qui n’ont pas été appliqués depuis trente ans.