de mode et ont vieilli pour faire place à des responsables conscients des enjeux, de leur bien-être et des coûts financiers. Ces nouveaux responsables se sont imposés par leur professionnalisme, leur technicité, tirant les conséquences des attentes de leurs clients et des moyens dont ils disposaient.
Le résultat en est que, lors du jugement «suprême» de l’accréditation, la restauration apparaît le plus souvent comme le secteur le plus préparé à affronter l’épreuve des audits. Autogérés comme société de restauration n’ont pas reculé devant la mise en place de systèmes modernisés.
Ce résultat satisfaisant ne pourrait-il pas être attribué à l’épreuve de vérité héritée de la situation de tension qui devrait être déclenchée en amont ?
Comme quoi des crises naissent des solutions et la concurrence qui est, par essence, une crise organisée fait naître la modernisation et renforce toutes les parties qui ont le courage de s’y soumettre