comté, beaufort…) sont également plus riches en calcium que d’autres (comme les fromages fondus). Les viandes offrent un bon apport en fer et en protéines. Les maigres, avec une cuisson sans sauce et peu de matières grasses, sont à préférer aux viandes grasses. Le poisson est autorisé, même les poissons gras tels que le maquereau, la sardine ou le saumon. Les oeufs sont notamment une bonne source de protéines. Les féculents sont «la seule source de glucides rassasiants». Il convient d’en manger à l’un des deux repas principaux, et du pain à chaque repas. Mais les frites (25 à 30 % MG) et les chips (40 %) sont à éviter. Les légumes et les fruits sont à consommer en quantité suffisante, au moins cinq par jour. Les crudités doivent être peu assaisonnées, les fruits au sirop ou les compotes industrielles écartés. A table, l’eau doit être privilégiée. Attention aux sodas (possibilité de sodas édulcorés), mais aussi aux excès de jus de fruits.
Sensibiliser en responsabilisant
En tout point, il convient de sensibiliser en responsabilisant. En restauration scolaire, le Dr Laurence Plumey reconnaît les efforts entrepris, «des repas plus équilibrés, l’implication de plus en plus fréquente de diététiciennes, des animations pédagogiques». Et d’ajouter : «Apprendre, manger, bouger, l’école est le lieu idéal