huîtres, etc). Des pains spéciaux sont proposés, et la créativité reste de mise : bûche de 19 mètres pour Noël, galette des rois géante… Les projets de menus sont affichés à la semaine. L’après-midi, des rotations s’effectuent pour emporter les navettes à bord (les coursives déjà exiguës sont de plus encombrées par les travaux). La gestion au quotidien implique une grande part de management, car des personnes partent en stage, en soutien, en mission… En amont, «un important travail avait été réalisé pour définir le nombre de personnes à nourrir, les amplitudes et la planification du travail, etc», indique Emmanuel Durand. «Nous avons effectué un vrai déménagement, avec un état des lieux». Après quelques mois, «la période de rodage est passée» note Philippe Schmidlin. «Nous avons un bon outil, du matériel efficace, qu’il a fallu apprendre à utiliser différemment. Et même si nous aimons être à bord, la notion de confort sur ce restaurant est agréable». Une enquête de satisfaction auprès des convives a fait état de 74 % de satisfaits et 24% de très satisfaits. «C’était un gros pari. Nous avions compris l’importance de réussir l’ouverture de ce restaurant». Qui a bien trouvé depuis sa vitesse de