Minimiser l’impact environnemental et répondre aux problématiques de développement durable, la filière «conserve» s’y attelle depuis longtemps avec notamment sa boîte métallique 100 % recyclable.
Inventée par Nicolas Appert, la boîte de conserve a fêté son bicentenaire en 2010. Celle qui «a révolutionné les modes de consommation», comme le souligne l’Uppia (interprofession des produits appertisés), s’inscrit aujourd’hui sur «un marché mature» et son succès s’explique par «les innovations des producteurs de métal, des fabricants d’emballages et des conserveurs, le bon rapport?qualité/prix des produits». En restauration collective, les boîtes métalliques
offrent des contenances adaptées, des facilités de gestion et de stockage : DLUO longues, conservation à température ambiante, ouverture aisée, denrées prêtes à l’emploi ou transformables… Les fabricants travaillent sur la traçabilité et la durabilité tout en cherchant «à minimiser l’impact de leur production sur notre qualité de vie et sur celles des générations futures». Les boîtes métalliques sont «plus compactes, plus légères, empilables». Les emballages sont une importante problématique écologique. Comment la boîte de?conserve s’inscrit-elle dans la logique du développement durable ? Elle revendique «une place de choix. Elle permet aux cuisiniers de réaliser une assiette composée, un hors d’œuvre, un plat chaud… en limitant les dépenses d’énergie : nul besoin de rallumer le piano, nul besoin de stocker au froid», que ce soit pour le transport ou sur site.
Ressource renouvelable
Facilement récupérable, la conserve est un emballage à 100 % recyclable. Et
