L’ACEHF (Association culinaire des établissements hospitaliers de France), l’APASP (Association pour l’achat dans les services publics), l’ANDRM (Association nationale des directeurs de la restauration municipale), l’UDIHR (Union des ingénieurs hospitaliers en restauration), l’AJI (Association des journées de l’intendance), le CCC (Comité de coordination des collectivités) et l’UPRT (Union des personnels de la restauration territoriale, ex-UPRM, lire ci-dessous) affichent leur volonté de travailler ensemble en commun, tout en préservant chacune leur identité et leur autonomie, car au-delà de leurs spécificités (liées à leur secteur : statut des personnels, besoins des convives, etc), elles ont des problématiques communes et donc des solutions à mutualiser, des modèles et des expériences à partager. L’objectif ? Etre complémentaires et non concurrentielles, avoir plus de poids vis-à-vis des instances officielles pour être encore davantage une force représentative de la restauration collective en gestion directe, gagner en reconnaissance. Chacune doit pouvoir s’enrichir du travail des autres. Ces associations se retrouvent parfois sur des thèmes d’actualité sans toujours se concerter. L’UDIHR, l’ACEHF et l’AJI ont par exemple toutes les trois fait de l’environnement le thème de leurs congrès. Elles avaient engagé des échanges en se rendant aux colloques les unes des autres, ou à travers leurs sites Internet, mais viennent désormais de marquer une nouvelle étape plus concrète, avec la mise en place d’actions communes et une communication plus transversale. La première réunion a eu lieu début juin et les associations prévoient de se rencontrer au moins deux