reçu dans son congrès des associations nationales de parents d’élèves (FCPE et PEEP), ce qui a donné lieu à des échanges convergents sur le projet de loi-cadre qui doit reprendre toutes les obligations relatives à ce type de restauration. Actuellement, l’hygiène est codifié par des arrêtés tandis que les aspects techniques et nutritionnels relèvent de circulaires non assorties d’obligations. L’ANDRM a aussi commenté le nouveau code des marchés publics. «On a voulu modifier la nomenclature pour mieux prendre en compte les petits fournisseurs. Mais notre fonctionnement opérationnel en est fortement alourdi».
L’ANDRM veut jouer un rôle de conseil auprès de ses adhérents et aussi en direction des élus municipaux. Ceux-ci ont besoin, pour que leurs choix politiques débouchent sur l’efficacité, de pouvoir compter sur une technicité des méthodes. Le travail de l’association offre ainsi une mise à jour permanente et permet de diffuser largement les expériences lancées par quelques pionniers.