Jean-Luc Roy est depuis peu responsable du service de la restauration du centre hospitalier d’Angoulême. A l’issue d’un projet de fusion qui doit permettre d’accueillir la restauration du centre hospitalier de Rochefort, la production culinaire du CH d’Angoulême passera de 3 500 à 4 500 repas. À l’heure actuelle, le service emploie 70 personnes. Il dessert entre 25 et 30 offices et un site extérieur, la maison de retraite de Beaulieu. Jean-Luc Roy arrive de la résidence de Bellevue à Bourges, un ehpad de 1 400 repas/jour où il a travaillé sur le projet de fusion avec la cuisine de l’hôpital psychiatrique voisin de Beauregard (voir news). Il a auparavant participé à l’ouverture de la cuisine de l’hôpital local de Saint Amand-Montrond dans le Gers, «de la genèse du projet jusqu’à la mise en route» pendant une période longue de dix ans. «La cuisine devait en remplacer trois. Elle livre aujourd’hui l’hôpital, le centre de cure, la maison de retraite, le CCAS et la mutualité sociale agricole». Il a débuté dans le service comme contractuel. Il se passa deux ans après le concours de technicien supérieur hospitalier avant qu’il intègre la fonction de responsable de l’unité restauration. Auparavant, à l’hôpital Villeneuve sur Lot, il a progressivement monté les échelons, du poste d’Op1 à celui de responsable de secteur (aujourd’hui conditionnement et allotissement). L’expérience a duré 15 ans. Issu de