Restauration Collective

L’ANDRM MISE SUR LA FORMATION ET L’INFORMATION

en 2003), le pôle de compétence en restauration collective mis en place en Haute-Normandie, la récente mise en place de l’option restauration pour le grade de technicien, etc. «Nous attendons aussi cette option pour le grade d’ingénieur, afin que la fonction de responsable de restauration municipale soit reconnue».

Autre dossier, celui de la nutrition et de l’équilibre alimentaire. Et Christophe Hébert de réagir face aux critiques sur la lenteur de l’application de la circulaire de 2001 en restauration scolaire, selon lui «liée à sa reconnaissance comme un véritable service public». Il y a «des recomman- dations, des avis, etc, mais il faut légiférer, que les intentions deviennent des obligations. On sent de gros enjeux de service public derrière tout ça, avec deux problématiques, celle de l’usager et celle du contribuable». L’ANDRM travaille sur l’ensemble des dossiers au fur et à mesure de l’actualité, mais fait aussi un travail de fond, en amont. L’association revendique un potentiel de 600 à 650 adhérents et met en avant cette année sa volonté de faire un important travail dans leur direction, afin de les contacter plus souvent, de mieux les connaître…

La qualité est un tout

Elle a mis en place une lettre trimestrielle et deux fois par an un magazine qui reprend les compte-rendus des réunions régionales. «Nous allons aussi faire une refonte de notre site internet, avec plus

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