a dû faire un effort d’adaptation, car il n’utilisait par exemple pas de four mixte auparavant. Il a bien sûr bénéficié d’une formation, pour, explique Jean Pizon, une «optimisation d’utilisation du matériel mis à disposition». Autre indice de modernité, la proximité entre les convives et le personnel. Le self est en effet ouvert en partie sur la cuisine et sur le piano central. Les élèves peuvent ainsi voir le personnel travailler (les frites sont par exemple préparées au fur et à mesure).
L’agencement a également été revu, pour permettre une maniabilité et une organisation du travail plus adéquate. Les armoires à chariots se trouvent par exemple juste en face des vitrines réfrigérées, passe-froid et passe-chaud. Les élèves (et les adultes) bénéficient maintenant de deux plats au choix, et les bacs pour les plats chauds en self laissent une place pour une offre additionnelle éventuelle (plat sans porc, par exemple). Les demi-pensionnaires passent une première porte pour se servir au self avec leurs plateaux et leurs couverts. Ils passent ensuite une seconde porte pour s’installer dans la salle à manger rénovée qui fait également fonction de salle polyvalente pour d’autres activités. Le collège sert environ 550 repas/ jour.