dans le Midi de la France.
Les axes de travail de Loris Marconi restent dans la continuité de ce qu’a fait Henri Cassin durant ses deux mandats : relancer le concours du plateau du malade avec une finale lors d’Hôpital Expo, renforcer le magazine ACEHF Magazine. «Ce magazine nous permettra de communiquer davantage avec les non-adhérents, notre tutelle et les directeurs des services économiques.» Loris Marconi a pour objectif de se rapprocher des autres syndicats et associations de la restauration autogérée, l’UPRM et le CCC notamment.
Difficulté de la vie associative
Sur le plan de la restauration hospitalière, il constate avec plaisir que les plans actuels de modernisation consacrent l’idée poussée par l’ACEHF depuis quinze ans que le repas fait partie intégrante des soins et qu’il permet de créer des conditions de thérapie. «Cette idée faisait rire à l’époque.» Le problème serait plutôt que tout le monde veuille s’occuper du repas pour toucher la psychologie du malade.
«Apporter du plaisir, voilà le plus important. Il faut donc améliorer la façon dont le repas est servi et l’ambiance dans laquelle il est consommé. C’est une question de temps, de disponibilité et de présentation.» Comment serait reçu par un malade un repas qui a été préparé en cuisine par un chef étoilé et qui serait servi et consommé dans des conditions déplorables.
Enfin,