le linge professionnel pour permettre un tri automatique dans la nouvelle blanchisserie. «On aura ainsi une meilleure traçabilité», indique Eric Lamotte.
Au total, le nouveau site, qui sera situé à 200 m de l’actuel, aura une capacité de 17 tonnes («à traiter en 7h30»). «On a recherché à améliorer l’ergonomie, avec la suppression des tâches pénibles, plus d’automatisme». Le budget prévisionnel global est d’environ 11,43 millions d’euros. Parmi les améliorations : «des convoyeurs amèneront le linge dans les machines» (donc moins de chariots pour transférer le linge), «on aura des robots démêleurs pour le grand plat, avant l’engagement en machine». Le personnel retrouvera le même type de machines qu’aujourd’hui, mais avec de meilleures performances. Pour le linge en forme, sont prévus 7 postes d’accrochage (ou d’engagement) et 2 postes de contrôle qualité en sortie.
Amener du confort sur les postes
Pour le transport, de nouveaux chariots serviront pour le linge sale et propre. Le but n’est pas de tout automatiser, le personnel doit garder sa place, précise Eric Lamotte en ajoutant : «On a surtout essayé d’amener du confort sur les postes, et chacun sera près d’une fenêtre». La surface sera d’environ 5 000 m2, avec la production sur un seul niveau. «Le CHU est maître d’oeuvre