Que ce soit à Marseille, Paris ou Monein dans le Béarn, il existe une volonté assez forte de la part des municipalités pour réussir à changer et à améliorer la qualité de la restauration collective. Lors d’une table ronde au mois d’octobre à Paris, les élus et acteurs de ces trois villes ont énoncé les difficultés et réussites pour y arriver.
Par Noémie Giraud
À l’occasion des Victoires des cantines rebelles (voir Les gagnants de la 8e édition des Victoires des cantines rebelles), organisées par Un Plus Bio à l’Académie du Climat de Paris, une table ronde intitulée « Cantines : comment retrouver le sourire ? » a réuni plusieurs acteurs de la restauration collective pour évoquer leurs expériences. Chacun a dans l’idée d’améliorer la qualité des repas servis dans sa ville, grâce à des moyens plus ou moins différents. Si Marseille et Paris ont beaucoup travaillé sur l’amélioration de leurs assiettes, Monein a, quant à elle, eu une autre problématique (voir ci-dessous).
Reconstruire un pôle dédié à la restauration collective à Marseille
Pierre Huguet, adjoint en charge de l’Éducation et des Cantines scolaires à la ville de Marseille a, depuis 2020, avec la nouvelle municipalité, un objectif ambitieux