comprend, à la rentrée 2007, carottes, pommes de terre, salades, pommes, bananes, agrumes, yaourt, fromages, frais, pain.Le Service de santé publique de la ville complète la démarche par des actions pédagogiques dans les écoles. Il s’agit d’une éducation nutritionnelle qui entend prévenir des risques d’obésité et lutter contre les consommations excessives de sucres et de graisse. «Nous nous sommes engagés dans l’option de la qualité et de l’équilibre alimentaire. Nous voulons aussi que le temps du repas scolaire soit celui de la découverte».
Le coût de l’accueil d’un enfant est de 8,25 euros par repas, prix qui englobe le travail de la cuisine centrale et celui des offices. Les options politiques de cette ville socialiste l’amènent à facturer le repas à 2,25 euros en moyenne à l’usager tandis que 6 euros sont à la charge du contribuable. Une répartition qui est jugée préférable à la gratuité.