Restauration Collective

UNE NOUVELLE CUISINE EN PHASE AVEC LES BESOINS ET LA RÉGLEMENTATION

La nouvelle cuisine centrale de Libourne est logée dans un bâtiment indépendant sur le site hospitalier. La plus grande partie de la production (3 500 repas/jour au total) est livrée à l’hôpital Robert Boulin (où se situait l’ancienne cuisine, bientôt transformé en office relais). Opérationnelle depuis septembre dernier, l’unité – en liaison froide – va encore connaître une nouvelle phase avec l’installation d’un office relais pour l’assemblage des plateaux attenant à la cuisine centrale (elle fonctionne actuellement avec un office relais provisoire). L’office est destinée à toute la production de la cuisine, excepté celle destinée à Garderose.

Des cloisonnements qui préservent la clarté

Entièrement neuf, le bâtiment restauration loge l’administration, la cuisine elle-même, le restaurant du personnel, un vide sanitaire partiel pour l’accessibilité des locaux techniques. «Ce comble technique évite de pénétrer dans la cuisine», précise l’architecte Richard Maubé, associé du cabinet d’architecture mandataire HPL Architectes (Mérignac).

Tout est réalisé sur un même niveau. À l’intérieur, l’espace libre qui a été aménagé rend possible toute modularité. Tout a été cloisonné par des panneaux et des vitres. Les locaux contiennent quelques faux plafonds pour l’acoustique. Mais dans l’ensemble, le plafond est également essentiellement recouvert de panneaux isothermes pour l’hygiène et la maîtrise de la condensation.

11 mois de travaux

Les pièces sont rafraîchies à température variable, à 3°C pour le stockage et la préparation froide, à 25°C pour la cuisson par exemple. Dans la même optique, le sol est recouvert de carrelages. À l’extérieur,

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