Ces prestations sont réalisées pour les cadres, agents et services de formation de diverses administrations : conseil général, services des Finances, ministère de l’Intérieur, DDE, SDIS (pompiers). «Nous réalisons cinq ou six repas par semaine, de 10 à 80 convives, avec en moyenne une trentaine, et deux buffets par mois, sachant que la pleine période s’étend d’octobre à décembre et de mars à juin. Les administrations réservent huit à quinze jours à l’avance, rarement la veille pour le lendemain», précise le gérant Maurice Balsalobre. L’espace cafétéria est transformé en salle à manger. Les tables sont nappées dans des tons pêche ou bordeaux. La vaisselle est renouvelée régulièrement sur le budget du restaurant, ce type d’achat n’étant plus subventionné depuis cinq ans.
Une présentation particulièrement soignée
«Les produits utilisés proviennent des fournisseurs habituels sollicités pour le self-cafétéria, mais ils offrent une qualité supérieure. En outre, dans l’assiette, la présentation est davantage soignée», affirme le gérant, convaincu que la souplesse de l’offre culinaire a permis de fidéliser les administrations. Ainsi, le restaurant propose cinq choix de menus. Toutefois, il est possible de piocher parmi un ou plusieurs plats au sein de chaque proposition. De plus, des mets comme le couscous, la paëlla ou la choucroute peuvent être fabriqués à la demande. Le restaurant recompose alors un menu spécifique. Pour les personnes en formation dans le domaine de la sécurité routière, le forfait type est calculé sans la boisson. «Le tout, c’est de rester