Dans les 30 ans à venir, si les tendances passées se maintiennent, la population continuera à se concentrer au sud de la France. En revanche, elle diminuera dans une large bande, allant du quart Nord-Est du pays (excepté l’Alsace), jusqu’au Massif Central. Ces évolutions sont en grande partie liées aux mouvements migratoires. Le Nord-Est du pays et l’Ile-de-France voient partir plus d’habitants qu’elles n’en accueillent, tandis que le sud et l’ouest sont plus attractifs.
Au total, entre 2 000 et 2 030, la population française augmenterait de 9 %, mais celle du Languedoc-Roussillon pourrait s’accroître de 34 %, celle de la région PACA de 21 %, celle de Midi-Pyrénées de 16 %, celle de Rhône-Alpes de 16 %, celle d’Aquitaine de 13 %, celle d’Alsace de 12 %, celle des Pays-de-la-Loire de 11 %… Inversement, la population diminuerait de 10 % en Lorraine, de 8 % dans le Limousin, l’Auvergne et la Champagne-Ardenne et de 3 % dans le Nord-Pas-de-Calais, la Bourgogne, et la Franche-Comté.
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