Sur le plan de la qualité, le professionnel aura à surveiller de près toute une série de pièges potentiels. Les pommes de terre moins approvisionnées en eau contiennent une matière sèche beaucoup plus élevée. Ce qui entraîne une plus grande fragilité face aux chocs et donc un vieillissement délicat dans les stocks. L’arrachage dans la terre asséchée sera aussi difficile car la terre ne jouera plus comme d’habitude la fonction d’amortisseur. Un plus grand nombre de tubercules arriveront abîmés chez les professionnels. D’autant que davantage de matière sèche entraîne aussi des regerminations et des repousses durant le stockage. A la cuisson, la composition plus hétérogène des tubercules entraînera des difficultés, les cuisiniers devront revoir leurs méthodes de cuisson des frites et les surveiller davantage. Enfin, avec des tubercules plus secs, la texture des plats sera affectée.
Les chefs et cuisiniers vont donc souffrir avec
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