Outre la cuisine centrale, le programme de modernisation porte aussi sur les établissements satellites. «Le self de la cuisine relais de l’hôpital de Quimper a été refait à neuf dans le cadre d’une extension». En septembre 2003 a été achevée la refonte du self de Douarnenez et en octobre 2003, c’est au tour de l’hôpital Gourmelen de bénéficier d’une modernisation. «Nous y avons conservé la salle à manger mais nos 500 clients pourront se restaurer dans le cadre d’un scramble. Ce restaurant dessert aussi l’école d’infirmières de Quimper». Enfin, en mai 2004, le site de Concarneau (130 clients) disposera d’une cuisine et d’un self remis à neuf dans le cadre du bâti existant. On est ainsi passé de quatre cuisines centrales à une seule. Cet ensemble emploie 106 agents, dont 60 à l’UPC. Tous relèvent toujours de leurs hôpitaux respectifs et oeuvrent dans le cadre d’un détachement et d’un contrat renouvelable. La centralisation et la modernisation ont ainsi apporté d’importants gains de productivité : la qualité du service et la recherche du meilleur coût étaient des objectifs affichés à l’avance. «Nos moyens nous permettent de produire 8 500 repas par jour, mais l’UPC peut travailler au rythme de 10 000 repas en routine et de 12 000 en pointe. La production annuelle, sur la base actuelle, est de 2,1 millions
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