LE MAGASIN «PILOTE» DU NOUVEAU CONCEPT

© C. REYNAUDau sein des diverses zones.


Sur un marché de renouvellement


«Dans les années 80, le chiffre d’affaires était réalisé à 50 % avec la restauration collective et à 50% avec la restauration traditionnelle. Depuis 1990-91, il est respec- tivement de 80 % et 20 %. Nous avons assisté peu à peu à un tassement des créations en restauration classique, d’où la nécessité de nous diriger vers les collectivités pour assurer la pérennité de l’entreprise», affirme le directeur Pierre Pouget. «Aujourd’hui, nous nous situons sur un marché de renouvellement d’équipements. Il y a toutefois des créations en restauration collective, maisons de retraite notamment».


Ecotel-Mestrallet constate que globalement, les collectivités ont tendance à relever leur niveau de prestation : création de salles de direction, restauration à thème… «Quant aux restaurants traditionnels, ils n’hésitent pas, par exemple, à varier les styles et couleurs de vaisselle sur une même table. On se doit donc de leur proposer un vaste choix», poursuit Pierre Pouget. Il est persuadé que le nouveau concept va permettre de «booster» le magasin.


Objectif visé dans les deux ans à venir : que 80 % des clients – contre 60 % actuellement – se rendent au magasin, trois à quatre fois par an, au rythme des saisons. «C’est un challenge important certes, mais l’attractivité du concept allié à notre souci du service et du conseil, doivent permettre d’y parvenir»,


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