Le prix de la qualité
Gilles Terzakou s’inquiète aussi d’une tendance qui «va finir par jouer sur la qualité». Selon lui, certaines SRC annoncent en obtenant des marchés qu’elles prennent une marge zéro et se «contentent» de la marge arrière sur les achats. Un jeu dangereux pour le P-dg de MRS, qui estime que «la profession va entrer dans le mur, car il faut bien faire payer à un moment le prix de la qualité», et ne pas continuer à tirer les coûts vers le bas.
Enfin, en 2006, une des difficultés passera par la gestion de la crise de la volaille, avec la grippe aviaire. Car se sont des produits très présents en restauration collective, qui offrent plutôt une bonne marge. «Il faudra être convaincant auprès de la clientèle, et limiter les reports sur les autres produits», dont les prix augmentent en contrepoint.
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