UNE NÉCESSAIRE RESTRUCTURATION

© C. REYNAUDles plats en sauce, les lasagnes, le gratin dauphinois… Les poissons et les légumes partent moins bien. Nous arrivons toutefois à leur faire manger des épinards à la béchamel, certains demandent même du rab», poursuit le cuisinier, motivé par son travail : «Compte tenu du fait que nous réalisons une moyenne de 300 repas par jour, je considère que nous sommes en mesure de proposer une prestation culinaire de qualité, privilégiant le goût».


Auparavant, le collège assurait un service restauration le mercredi pour une cinquantaine de convives. Mais avec la baisse des effectifs, le maintien de ce service ne s’est plus justifié. Le chef regrette ce temps-là : «C’était un jour particulier, nous pouvions vraiment soigner la réalisation des mets».


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