LA MAINTENANCE EN CUISINE CENTRALE HOSPITALIÈRE

© Photos K. Averty sauf DRbesoin. Les livraisons par camion se font avec un contrat de location, qui comprend la maintenance (le fonctionnement est similaire à Nîmes). La maintenance autogérée existait auparavant, mais avec beaucoup plus d’interventions ponctuelles d’entreprises sous contrat. Les deux techniciens de maintenance ont été recrutés un mois avant l’ouverture de la nouvelle cuisine centrale (une arrivée plus en amont aurait été un atout selon Régis Jolivet). L’un a un profil d’électromécanicien, l’autre de frigoriste. Ce sont des agents des services techniques détachés à plein temps, avec une co-gestion entre les ingénieurs restauration et les services techniques. Un technicien s’occupe par ailleurs de la maintenance informatique, un point à ne pas négliger car entre les logiciels d’exploitation, la monétique au self, etc, « l’environnement informatique est dense« .

un stock de pièces détachées

Au CHU de St Etienne, la maintenance préventive représente environ 30 % du temps, le curatif 50 %, le reste se répartissant entre la surveillance des installations/bâtiment (rondes techniques), la formation des utilisateurs, la liaison avec les services techniques, la participation aux achats d’équipements, la gestion des interventions externes éventuelles… La GMAO n’est pas encore développée de manière totalement opérationnelle, des supports « papier » subsistent : fiches de maintenance des appareils, enregistrement des interventions… Les achats de pièces détachées étaient de l’ordre de 30000 euros en 2005, mais ce coût impliquait beaucoup de