Pour Jérôme Perrenot, l’essentiel consiste à «assurer une prestation culinaire correcte pour satisfaire le maximum d’étudiants». Toutefois, il déplore les contraintes liées à la réglementation des marchés publics. «Nous n’avons plus d’autonomie pour le choix des produits. Il faut trop de temps pour dénoncer un marché avec un fournisseur qui ne convient plus parce que la qualité laisse à désirer. Et pendant ce temps-là, nous perdons des convives», considère Jérôme Perrenot, tout en ajoutant que «motiver le personnel n’est pas non plus facile car nous entendons souvent dire qu’aucune ligne budgétaire n’est prévue pour les heures supplémentaires…»
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