LA QUALITÉ MALGRÉ LA PRESSION DU MARCHÉ


Le résultat de Sogeres en 2006 est largement marqué par la perte du contrat avec la ville de Nice. Du fait de sa taille, l’impact sur le développement se chiffre, d’après Jean-Paul Fontan, à cinq points à peu près. La progression de Sogeres étant proche de 3%, hors impact de la ville de Nice, elle se situe proche de 8 %. «C’était un contrat que Sogeres avait depuis dix-huit ans.» A part cet accident de parcours (le contrat reste dans le groupe car Sodexho l’a repris, ce qui montre la réalité de la concurrence entre entités), le taux de fidélisation a été très satisfaisant pour Sogeres, dépassant les 96 %. Ce qui indique que 2007 devrait être une année de progression comme les années précédentes.


Une certification


significative


L’énorme chantier d’organisation et de mutation du style de Sogeres lancé il y a trois ans par Jean-Paul Fontan est arrivé à terme. Et cet accomplissement a été officialisé par une certification AFAQ.


L’identité culinaire a donc été déployée dans tous les établissements de Sogeres avec sa nouvelle offre grâce à la formation de la plupart des salariés concernés. L’adhésion de cette identité s’est d’ailleurs ressentie à travers la réussite du concours Identité culinaire. Une offre moins pléthorique mais plus souvent renouvelée et plus goûteuse et marquée.


Le second volet de la certification a touché l’engagement clientèle des membres de Sogeres vis-à-vis de leur client.


«L’important avec ces deux


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