CLERMONT-FERRAND NE VEUT PAS DE LIAISON FROIDE


La municipalité de Clermont-Ferrand mène une politique à contre-courant des autres grandes agglomérations, avec d’un côté, le maintien de la production sur site, et de l’autre, de l’installation de la liaison chaude par l’intermédiaire de trois petites cuisines centrales. Après une première unité déjà livrée, la deuxième va voire le jour à la rentrée prochaine. La troisième est encore en projet, «les concertations sont en cours pour le choix du lieu», indique-t-on dans les services du cabinet. Chaque cuisine réalise entre 1 000 et 1 300 repas/jour pour un total de six à sept cuisines satellites à approvisionner, exclusivement des écoles et des centres de loisirs.


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