Suite à la publication du rapport de l’Anses concernant les isoflavones, présentes notamment dans le soja, le SNRC a tenu à rappeler que cette recommandation « s’inscrit dans la lignée de nombreuses recommandations et réglementations déjà intégrées par les entreprises de la restauration collective ».
Si le soja n’est plus utilisé pour les repas en crèche, le syndicat souligne qu’il l’est de manière très limitée dans les cantines scolaires, conformément au guide du CNRC sur l’expérimentation du menu végétarien. Soit environ 1 repas contenant du soja sur 5 repas végétariens. « Cet avis de l’ANSES s’inscrit dans un cadre légal plus global (Loi Egalim et Climat & Résilience) qui vise à faire évoluer à la hausse l’utilisation des protéines végétales dans les repas servis en restauration collective. L’objectif ? Inciter à la transition vers une alimentation “plus saine, moins animale et plus végétale“ », poursuit le SNRC.
Enfin, grâce à son expertise nutritionnelle reconnue, il insiste sur le fait que le secteur possède une prise en compte éclairé des recommandations formulées sur le contenu des repas servis. « Les entreprises de la restauration collective sont ainsi au service d’un modèle d’utilité publique, exemplaire dans son ambition de nourrir le plus grand nombre de citoyens avec la plus grande exigence sanitaire, nutritionnelle, sociale et environnementale. » N.G.
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