Scolaire, entreprise, médico-social… La restauration collective ne manque pas de dynamisme. Voici notre sélection des dernières actualités du secteur.
INITIATIVES
¤ En cette rentrée scolaire 2024-2025, la commune du Touvet (Isère) a décidé de reprendre en gestion directe son restaurant scolaire. Ce choix s’inscrit dans la volonté d’améliorer la qualité d’accueil des enfants et de favoriser les circuits-courts. Les repas seront confectionnés avec certains produits d’un couple d’agriculteurs très récemment installé sur la commune. Pour l’heure, le prix de la cantine restera inchangé.
¤ Le personnel du restaurant scolaire du Faouët (Morbihan) a décidé de s’employer cette année à une meilleure sobriété en triant encore mieux les déchets alimentaires et en valorisant davantage les productions locales. En ce sens, il a été convié à une formation et un composteur sera bientôt installé près du restaurant scolaire de la commune.
LABEL
¤ Le collège Yvon Delbos de Montignac-Lascaux en Dordogne a atteint le niveau excellence du label Ecocert En Cuisine grâce à sa production 100 % bio et faite maison. Il s’agit ainsi du 14e collège du département à atteindre ce niveau.
ÉVÉNEMENT
¤ Renouvelées chaque année depuis 8 ans, les Victoires des cantines rebelles ne reviendront pas en 2024. L’association Un Plus Bio a décidé de faire une pause cette année, afin de revisiter le format ainsi que le règlement. Rendez-vous en 2025 pour une nouvelle version.
ET AUSSI…
¤ Api Restauration assurera désormais la restauration des équipes professionnelles de football du Paris-Saint-Germain. Répondant à une conception culinaire sur mesure, l’entreprise a su convaincre le club grâce à son expertise dans le secteur de la nutrition sportive.
¤ Faute de personnel, le maire de la petite commune de Zimmerbach dans le Haut-Rhin a dû venir prêter main forte pour le service du midi dès la rentrée. Une situation transitoire, le temps de trouver deux personnes supplémentaires pour compléter les effectifs du périscolaire. Élus, retraités et parents d’élèves se relaient ainsi quotidiennement le temps que la situation rentre dans l’ordre. La structure doit pouvoir fonctionner avec 7 salariés en temps normal. N.G.
Sources : France Bleu ; Ouest-France ; France Info
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