Dans un numéro du «Quotidien du Médecin», le Dr Denise Caro évoque les contraintes horaires dans certains emplois et l’influence de ces rythmes sur l’alimentation. Le travail posté est synonyme de désynchronisation et peut donc exercer une influence négative sur les métabolismes, la digestion, les habitudes alimentaires. L’apport énergétique global et le maintien de deux repas principaux semblent se retrouver chez les travailleurs postés comme chez les autres. Mais les premiers ont plus souvent recours au grignotage et au snacking entre les repas. Pour les travailleurs de nuit, il est nécessaire de faire une vraie pause pour manger. A éviter, trop de lipides, de sucres rapides, d’alcool et de stimulants comme le café. Pour les personnes qui ont des horaires variables, il est plutôt conseillé de conserver si possible les horaires de repas pris habituellement chez soi, en les allégeant au moment du travail de nuit, avec une ou des petites collations durant cette période. Si une adaptation est nécessaire, il faut néanmoins observer des distinctions parce que tous les individus ne tolèrent pas les horaires décalés ou les changements d’horaires de la même manière.
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