Scolaire, entreprise, médico-social… La restauration collective ne manque pas de dynamisme. Voici notre sélection des dernières actualités du secteur.
INITIATIVES
¤ Fin décembre, les élèves du lycée professionnel François Camel de Saint-Girons (Ariège), ont réalisé et servi un repas pour les aînés de l’Ehpad Le Jardin des Cèdres Bleus. Une action s’inscrivant dans une démarche intergénérationnelle permettant aux élèves de mettre en pratique leurs connaissances. Ils ont aussi pu être sensibilisés à l’importance de prendre soin des autres.
¤ Les enfants de la communauté de communes Thiers Dore et Montagne (Puy-de-Dôme), sans distinction, bénéficieront désormais de repas gratuits au centre de loisirs. Pour la communauté de communes, bien manger ne devrait pas être un choix, d’où cette décision.
¤ Depuis le 13 janvier 2025, le restaurant scolaire de Hondschoote (Nord) passe en cantine intergénérationnelle. Tous les aînés de la commune, valides et en mesure de se déplacer, pourront venir manger avec les élèves le temps d’un repas.
FORMATIONS
¤ En décembre, l’association Bio en Normandie a proposé une formation à une quinzaine de cuisiniers, aide-cuisiniers et gestionnaires au sein du restaurant scolaire de la commune de Teurthéville-Hague (Manche). Le but pour eux étant d’apprendre à mieux manger et à manger bio dans les cantines.
LABELS
¤ En décembre dernier, le PAT du Pays de l’Anjou bleu (Maine-et-Loire) a obtenu le label de la DRAAF, valable 5 ans. Cette labellisation permet ainsi l’octroi d’une subvention de 100 000 € pour soutenir les initiatives locales en faveur de l’alimentation durable. Les différentes actions découlant du PAT ont été par la suite présentées au conseil syndical 15 jours plus tard.
ÉVÉNEMENTS
¤ Des ateliers thérapeutiques ont lieu depuis plusieurs mois à l’Ehpad Gérard-Minvielle de Tartas (Landes) autour de la cuisine traditionnelle. L’occasion pour les résidents, qui participent ainsi à la préparation des repas, de raviver plusieurs souvenirs.
À L’INTERNATIONAL
¤ En Suisse, le label Fourchette verte – Ama terra a été attribué à 250 établissements de restauration collective. Il garantit ainsi une alimentation durable et équilibrée et préconise au moins deux repas végétariens sur une semaine de 5 jours. N.G.
Sources : La Dépêche ; La Montagne ; La Voix du Nord ; La Manche Libre ; Ouest-France ; Sud Ouest ; Le Matin
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