Les bureaux d’études cuisine (ou restauconcepteurs) jouent la carte de la prudence et de la cohérence. Les modèles économiques évoluent, l’année électorale va impliquer forcément des freins, aux BET de savoir mettre à profit les atouts qui sont les leurs et défendre les intérêts de la profession. Il y a des marchés qui s’élargissent, une expertise à valoriser, une filière à animer. Un esprit de conquête salutaire pour garder la tête hors de l’eau…AC2RInstallé dans les Yvelines, AC2R, qui existe depuis 14 ans, travaille sur toute la France (Dom-Tom compris) en assistance, conception, réalisation… Présent sur les segments de la restauration d’entreprise, scolaire, santé, pénitentiaire, AC2R est membre du FCSI. Sur l’année 2013, « nous atteignons nos objectifs malgré un marché tendu sur nos cibles d’activités », indique le fondateur et gérant, Marc Grandmougin. Pour 2014, AC2R prévoit « une diversification vers des marchés privés, car la conjoncture politique à venir ne sera pas en faveur des marchés publics ». Et de poursuivre : « Les opérations d’importance sont majoritairement traitées avec des entreprises générales de bâtiment, qui n’ont pas forcément une bonne compréhension de notre savoir-faire et ont tendance à le sous-valoriser. Nous devons donc rester vigilants sur la défense de nos intérêts et la profession doit absolument afficher une position cohérente face à eux ». Parmi ses références 2013, citons le Pôle logistique des hôpitaux de Nouméa, la cuisine
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