nouveaux ont essayé d’alléger le poids que représente la restauration sur leurs budgets. Les contributions demandées aux convives n’ont pas diminué loin de là. L’augmentation écornerait l’image sociale de la restauration de collectivité et serait mal vécue par ceux qui attendent le repas gratuit ou presque comme un devoir civique. Plus grave si les prix en collectivité se rapprochent d’une façon ou d’une autre (les avantages d’hygiène et d’équilibre nutritionnel ne sont pas pris en compte par le consommateur) des prix en restauration commerciale, la collectivité perdra forcément de nombreux convives. Garder la qualité avec des denrées plus chères sans répercuter totalement la hausse des coûts des denrées obligerait alors à gagner en productivité au sein de la production et de la distribution.
Est-ce possible techniquement et surtout psychologiquement.