Sur les établissements dont il est prestataire, Elior prend en charge la restauration des détenus, complétée par celle du personnel pénitentiaire et par l’activité cantine. Le Groupe travaille au quotidien en partenariat et en interaction avec les différents intervenants, que ce soit l’administration et le personnel pénitentiaires ou les autres prestataires.« Nous avons actuellement une vingtaine d’établissements sur l’ensemble du périmètre France », indique Pierre Lansonneur, directeur du marché pénitentiaire d’Elior France. « Nous en aurons une quinzaine en 2018, toutes typologies d’établissements confondues. La restauration des détenus reste notre activité principale, avec la production et la distribution de l’ensemble des repas. » S’y ajoutent les mess du personnel (50 à 150 repas/jour selon les sites, du lundi au vendredi) et la cantine pénitentiaire, c’est-à-dire la vente sur catalogue de produits alimentaires et non alimentaires (environ 600 produits au total). Elior est présent sur le secteur pénitentiaire depuis 2010.
Un logiciel pour mieux lutter contre le gaspillage
« L’ensemble de ces activités s’inscrit dans des marchés plus globaux, multitechniques et multiservices. Nous avons répondu aux appels d’offres en groupement, avec un partenaire qui prend en charge d’autres activités : services à l’immeuble, maintenance, etc. » Parmi les principaux axes du cahier des charges du prestataire restauration figurent « la sécurité alimentaire, avec une rigueur dans la mise en place et le suivi au quotidien, et l’équilibre nutritionnel, qui est un enjeu de santé publique. Nous suivons les recommandations du GEMRCN
