Maquette numérique 3D, nouvelles méthodes de travail… Le BIM impacte le secteur de la grande cuisine avec une gestion partagée des données, un travail plus collaboratif pour améliorer l’accompagnement d’un bâtiment tout au long de sa vie : conception, construction et utilisation. Les acteurs qui interviennent sur la réalisation de bâtiments de tous types, dont les infrastructures de restauration, sont depuis quelques années confrontées à une forte évolution de leurs méthodes de travail avec le BIM (Building Information Modeling ou modélisation des données du bâtiment). La France a du retard à rattraper sur les pays anglo-saxons, mais sur le segment de la grande cuisine, bureaux d’études, fabricants et installateurs (Syneg, EFCEM, FCSI France, Cinov Restauconcepteurs, etc.) essayent de travailler de concert pour accélérer le mouvement (voir aussi la revue Syneg Infos sur le site du Syndicat des équipementiers de cuisines professionnelles : syneg.org). Selon le bureau d’études AC2R, « l’intérêt du BIM paraît évident pour un projet complexe et d’ampleur ». Il permet de « développer tout un complexe constructif en élévation 3D, en respectant tous les mêmes normes pour permettre une symbiose entre l’ensemble des intervenants du projet ». Chaque maillon de la chaîne doit œuvrer à sa bonne marche. Actuellement, les constructeurs mettent en place leurs familles d’équipements pour que les données puissent être intégrées. Encore faut-il parler le même langage… L’objectif est d’avoir notamment une standardisation et une
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