Au mois de septembre dernier, I-lunch, la start-up spécialisée dans les solutions de restauration pour les entreprises, a dévoilé de nombreuses nouveautés pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs.
En ayant fait le constat que 74 % des salariés préfèrent consommer frais ou fait maison et que 68 % veulent des produits locaux et de saison (étude Yougov), la Foodtech a fait le choix d’apposer un nutri-score sur ses 600 recettes. Si 80 % d’entre elles sont déjà notées A ou B, l’objectif est maintenant de passer à 90 % d’ici fin 2022.
Toujours pour répondre aux attentes des consommateurs, I-lunch propose également une offre composée de circuits courts et a signé un partenariat avec une entreprise proposant des produits sourcés en France avec une large gamme de produits bio. « Aujourd’hui, il est primordial d’offrir un service de restauration d’entreprise en phase avec les nouvelles attentes des collaborateurs. Alors qu’une partie d’entre eux s’est habituée à cuisiner et à pouvoir contrôler l’origine de leurs produits, nous souhaitons leur offrir une prestation tout aussi qualitative en étant totalement transparent. En plus de partager un bon moment, nos convives ont l’assurance de manger équilibré, avec des produits majoritairement issus de circuits courts et d’une agriculture raisonnée », explique Victoria Benhaim la fondatrice d’I-lunch.
En outre, une dizaine de nouvelles cantines en entreprise ont été ouvertes pour la rentrée.
Soucieuse de contribuer au développement RSE de ses clients, l’entreprise a mis en place un système de consigne ayant permis d’éviter 1 tonne de plastiques jetable en 2020. Son souhait est désormais de supprimer intégralement les emballages à usage unique et compte accompagner ses clients dans la mise en place de filières de collecte et de recyclage avec tri sélectif dans leurs locaux.
Enfin, dans sa lutte contre le gaspillage alimentaire, I-lunch mène un partenariat avec Too Good To Go et d’autres associations afin de sauver les invendus. Le groupe compte par ailleurs éviter le gaspillage de 60 000 repas grâce à son algorithme prévisionnel de vente et la mise en place de pré-commandes, tout cela dans le but d’empêcher la surproduction. N.G
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