Scolaire, entreprise, médico-social… La restauration collective ne manque pas de dynamisme. Voici notre sélection des dernières actualités du secteur.
INITIATIVES
¤ Le surplus des repas issus de la restauration scolaire de Mondeville (Calvados) est désormais offert à la Banque Alimentaire. Cette décision rentre dans la politique de développement durable de la ville et permet ainsi aux personnes dans le besoin de se nourrir correctement.
¤ Début décembre, Olivier Chaput organisait et animait des ateliers cuisines sur le thème de l’anti-gaspillage, à l’école d’ingénieurs ISIS à Castres et à l’Institut National Universitaire Champollion à Albi. Une animation s’inscrivant entièrement dans le dispositif « Bien Manger pour Tous » mis en place par la région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée. Le but étant d’encourager des pratiques saines, durables et accessibles chez les étudiants.
LABELS
¤ À l’approche de Noël, la commune de Steenvoorde (Nord) a obtenu deux étoiles au label « Ici, je mange local » pour la cantine de son groupe scolaire. Plus de 50 % des denrées sont locales, dont 5 % sont issues de l’agriculture biologique régionale. Un contrat d’alimentation territoriale a même été signé avec le producteur Saveurs de terre de Terdeghem (Nord) et la commune s’est associée avec la société Mille et un repas du Nord. Prochain objectif : décrocher la troisième étoile.
¤ Mi-décembre, les équipes de cuisine du collège Pierre Perrin de Val-Couesnon et Jacques Brel de Noyal-sur-Vilaine en Ille-et-Vilaine ont obtenu la certification Ecocert en Cuisine 3 carottes. L’ancien chef étoilé Olivier Roellinger est venu en personne récompenser les équipes, investies dans une démarche « 100 % produits bio, locaux et faits-maison ».
ET AUSSI…
¤ Dû au manque d’agents de cantine, le groupe scolaire du Val d’Orain à Colonne refusait de prendre des demi-pensionnaires à la rentrée scolaire 2024. Face à la situation, la communauté de communes Arbois Poligny Salins Coeur du Jura (CCAPS) dans laquelle il se trouve, a cherché des solutions : augmenter la surface d’accueil, décaler les horaires des repas ou poursuivre le recrutement d’un agent supplémentaire. Dès janvier 2025, la surface d’accueil pourrait enfin être agrandie pour accueillir 100 enfants au lieu de 90. N.G.
Sources : Le Bonhomme Libre ; La Voix du Nord ; Voix du Jura
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