Le bilan 2018 est « plutôt positif en Corse », observe Stéphane Lenoir, directeur général opérationnel de CCR. « Nous avons mis l’accent sur la communication aux clients sur l’ensemble des réglementations – Ecocert, EGAlim, Inco, etc. – et nous continuons à développer nos services, la centrale achat, la formation, la gestion concédée… Notre résultat et notre volume de couverts sont en évolution. Nous avons un partenariat avec UniLaSalle sur le 4e âge : fabrication pour nos clients de l’ensemble des textures et 28 grilles de menus pour la diversification, aversions, régimes et allergènes. Nous continuons à travailler et à développer nos partenariats avec la FRCA et la Chambre d’agriculture pour plus de bio et de local dans nos menus. » CCR affiche actuellement 23 % de bio, 5 % de labels et plus de 13 % de local, en évolution chaque année. « Nous souhaitons ouvrir une légumerie en bio et conventionnel de 300 m², à l’étude bien avancée. » Les clients ont besoin de « plus de formation de terrain du personnel autour des usagers des repas pour relayer les messages nationaux des actions sur le repas. Nous avons une animatrice, mais il faudrait développer des formations adaptées. On parle tout le temps de l’hygiène, et depuis peu du gaspillage, mais rarement de l’ensemble des réglementations appliquées à la restauration collective ». Quant aux convives, ils souhaitent dans le
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