Aujourd’hui, le snacking n’est plus une tendance, mais un mode de restauration à part entière, même si les collectivités restent prudentes quant à son application. Les entreprises en sont friandes, les étudiants et les lycéens aussi, cherchant à retrouver ce qu’ils connaissent à l’extérieur. Objectif : renouveler les formats traditionnels en travaillant sur tous les aspects de la restauration rapide : produits alimentaires, packaging, ambiance et mobilier… La restauration rapide s’inscrit de plus en plus dans nos habitudes alimentaires. La déstructuration des repas, le manque de temps, les comportements de zapping des consommateurs incitent à proposer de la vente à emporter ou des espaces dédiés avec mange-debout pour des snacks salés et sucrés. La restauration collective tend à se rapprocher de la restauration commerciale sur ces prestations. Mais il lui reste encore beaucoup d’idées à piocher : thématiques, montée en gamme, etc. Le besoin est là pour pallier la désaffection de certains selfs et offrir à des convives de moins en moins captifs des modes de restauration complémentaires
et/ou alternatifs, des horaires élargis, voire des espaces multi-fonctionnels (restauration, boutique, wifi et possibilité de travailler sur ordinateur…). La restauration rapide est donc devenue incontournable. C’est particulièrement vrai en entreprise, où la restauration est largement concédée (voir aussi ci-dessous "Réhabilitation de sites chez Orange" et "Du zapping à la fidélisation").
Efficacité et diversité des attentes