Pesant à eux seuls une production d’environ 350 000 repas par jour, ils étaient près de 80 responsables d’établissements hospitaliers implantés sur toute la France à se réunir les 17 et 18 mars à Vannes pour les assises de l’Union des ingénieurs hospitaliers en restauration, association qui célèbre cette année son 20e anniversaire.
Un rendez-vous convivial pour échanger sur les ambitions, les difficultés mais aussi les voies de progrès associées à un métier aussi passionnant qu’exigeant.Alors que s’accentue partout la pression des restrictions budgétaires, la mutualisation engagée depuis une qunzaine d’années au sein des établissements de services interhospitaliers en Bretagne sud s’est imposée comme un marqueur déterminant pour les participants aux assises 2016 de l’Union des ingénieurs hospitaliers en restauration (Udhir). « Nous sommes rassemblés autour de la conviction que le repas doit être un soin. Notre métier nous confère une responsabilité sociétale mais nous engage également à viser l’efficience au niveau des coûts de production », a plaidé en préambule, Sylvain Zercher, président de l’Udihr. « C’est en cela que nous organisons ce rendez-vous avec comme principal objectif de partager nos savoir-faire et de développer une intelligence collective ».
Depuis le campus du Tohnnic à Vannes, les organisateurs de l’événement ont fait valoir les synergies grandissantes qui sont cultivées entre les compétences et les expériences de leurs établissements respectifs, les GIP Vitalys (pays de Quimper),
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