Le snacking ? L’essayer, c’est l’adopter ! Il n’est plus en quête de légitimité en restauration collective. Ce secteur, en cherchant à démultiplier ses offres pour satisfaire les convives, s’adapte à leurs attentes tout en recherchant des formats nouveaux offrant une véritable alternative au self. Le marché de la restauration rapide s’avère plutôt dynamique en collectivité, où il se déploie sous différentes formes, encore loin cependant de la profusion de la restauration commerciale, dont il n’hésite pas à reprendre les codes ou les succès (burgers, box de pâtes, etc.). La tendance est par exemple au monoproduit, ce qui semble difficilement applicable en restauration collective, le modèle économique n’étant pas le même. Mais cela peut être déclinable sous forme de thématique changeante tout au long de la semaine sur un corner. Boulettes, pizzas, sushis, raviolis… Le propre du snacking est de savoir se réinventer, ce qui laisse encore un large champ d’application. Le Cnous et les Crous déclinent ainsi des foods trucks, mais aussi des concepts modulaires baptisés Crous Mini R pour des pauses repas express de proximité pour les étudiants. L’offre alimentaire s’élargit et monte en gamme (produits frais, locaux…), à côté de basiques incontournables (paninis, frites, par exemple). Le développement durable n’est pas en reste, avec notamment un accent sur le packaging
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