Dans le même temps, les productions agricoles comme les fruits, elles, ne sont pas soutenues. C’est un peu comme si on taxait la pratique du sport et que l’on aidait les entreprises productrices de tabac.
Il résulte de cette situation que de grandes entreprises sont ainsi aidées par les pouvoirs publics de même que les agriculteurs céréaliers et betteraviers qui, eux, sont loin d’être déficitaires alors que les petits agriculteurs de fruits et légumes s’enfoncent dans la misère. Sur fond d’obésité croissante.
Il y a loin entre les discours politiques et la réalité économique et sociale.