Le résultat en est une grande confusion et des solutions à court terme masquent très partiellement le véritable problème qui va éclater encore plus fortement en 2004 ou 2005.
En restauration hospitalière, soit on décide que l’on doit produire en 35 heures ce que l’on produisait en 39 heures auparavant, soit on fait appel à des achats de produits de plus en plus élaborés. Comme la première solution est dans toutes les têtes mais ne peut décemment pas être énoncée, on va s’acheminer obligatoirement vers la seconde solution.
Etait-ce ce que l’on voulait ?