La période de fin de mandat municipal étant, de toutes les façons, peu propice à des changements de politique, on peut penser que les 50-100 000 habitants ont évolué pour des raisons d’optimum économique lié à leur taille.
Au global, la restauration municipale a été mise en première ligne lors des crises alimentaires alors que dans le même temps elle était toujours sous la pression des prix à la baisse.
Elle a donc dû répondre sur tous les fronts. Il apparaît qu’elle se doit de renforcer la qualité de ses prestations du fait des attentes du public et ne peut plus céder à des sous-enchères permanentes.