Empêcher la restauration en gestion directe de se réformer et d’alléger ses charges, c’est montrer que la concession est une solution plus adaptée. On arrivera ainsi à l’opposé de ce que l’on voulait. En surprotégeant la gestion directe à court terme, on la fragilise à long terme.
La gestion directe doit montrer son dynamisme et sa valeur technique pour prouver son utilité et non pas s’arc-bouter sur des situations acquises qui deviennent de plus en plus obsolètes par rapport aux évolutions économiques.
On prouve sa force par son action et sa capacité d’adaptation. Espérons que les conditions de la décentralisation n’apportent pas un argument à ceux qui ne veulent pas de la gestion directe.