Jugés trop gras et/ou trop sucrés, les pâtisseries, gâteaux et autres biscuits n’ont souvent pas bonne presse. Pourtant, consommés avec modération, ils peuvent tout à fait être insérés dans une alimentation équilibrée.L’histoire de la pâtisserie n’est pas récente. Elle s’est notamment développée au 19ème siècle, où de nombreuses créations ont vu le jour (mille-feuille, Paris-Brest, Saint-Honoré…). Aujourd’hui, l’habitude de consommer un aliment sucré en fin de repas est bien ancrée, surtout lors de déjeuners au restaurant, de repas festifs ou familiaux. Une étude menée en 2012(1) révèle que les français sont surtout attirés par les desserts au chocolat, avec à la 1ère place le fondant (24 %), suivi de la mousse (23 %). Toutefois, le chocolat n’est pas plébiscité par toutes les catégories de population. Ainsi, les personnes âgées préfèrent plutôt les tartes (aux pommes en particulier), ou les îles flottantes qui arrivent également en tête des desserts les plus appréciés. La tarte tatin se classe quant à elle en 14ème position. Au niveau de la biscuiterie et gâteaux de conservation, la consommation par an et par habitant est estimée à 8,39 kg(2) (3,2 kg de biscuits secs et goûters, 0,46 kg de biscuits aux œufs et gaufrettes, 3 kg de biscuits pâtissiers, chocolatés et assortiments, et 1,73 kg de gâteaux). Cela représente en
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