© C. REIBELSur une surface inférieure, la cuisine fabrique plus de repas/jour.nouvel outil a surtout permis d’introduire plus de variété pour les entrées et les desserts, ce qui se répercute favorablement sur la prestation offerte, mais évite aussi la répétition prolongée des tâches lors de la phase de préparation par le personnel ». Le choix s’articule désormais entre quatre entrées, trois desserts, yaourts et corbeille de fruits en sus. Le dimensionnement du matériel ne permet pas en revanche la fabrication conjointe de deux plats. En revanche, la prestation s’est élargie au petit déjeuner. Contre une participation de 5 F, les élèves qui se retrouvent parfois dès 7 h du matin dans l’établissement ont le choix entre lait, chocolat, miel, confiture, beurre, pain complet, céréales et jus d’orange. Ce service fonctionne mieux durant la période hivernale où il représente entre 25 et 30 plateaux par jour. « La prestation aux usagers tout comme les conditions de travail du personnel ont été largement améliorées », se félicite Marlène Nau. Le budget alimentaire est resté inchangé (10,87 F par repas en moyenne). L’étude approfondie des coûts de fonctionnement est en cours. Dans l’immédiat, ils sont estimés « légèrement à la hausse« , notamment en raison des contraintes liées à la mise en place de l’HACCP.