La collège Jean Rostand à Nice, qui s’était doté pour sa cantine d’un système de contrôle d’accès à partir d’empreintes digitales, a dû suivre l’avis défavorable rendu par la CNIL (Commission nationale informatique et libertés). En place depuis la rentrée 1999, le système consistait en un logiciel et un lecteur d’empreintes, qui devait assurer plus de sécurité pour les élèves et permettre de vérifier le nombre de demi-pensionnaires présents ou absents. Face à la polémique soulevée, la principale du collège s’est défendue de vouloir instaurer une méthode policière. Finalement, le système a été retiré et les élèves ont donc désormais retrouvé leurs anciennes cartes.
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