au progrès, pour la plus efficace restitution de la capacité au mieux-être». Des professionnels ont ensuite débattu sur la thème «Pourquoi se préoccuper de son alimentation», évoquant notamment les relations entre les fonctions alimentaires et le psychisme, le rapport nourriture/confort ou plaisir… D’autres conférences concernaient les problèmes de surpoids (recadrer l’information sur des données incontournables : les différentes formes de surpoids, l’utilisation par l’organismes de ses apports alimentaires, l’intégration d’une bonne gestion du poids dans un nouvel art de vire conjuguant équilibre nutritionnel, plaisir de la table et convivialité), le combat contre une mauvaise alimentation (qui prive le corps d’énergie en lui apportant un surcroît de travail) ou encore le bien manger. Christophe Laval, P-dg de Medirest et Scolarest, est quant à lui intervenu en compagnie de Manuel Bloch, consultant en management, sur le «Développement durable, filières alimentaires et santé», soulignant le rôle prédominant des entreprises des filières alimentaires dans une démarche porteuse d’innovation comme le développement durable, permettant d’évoluer «dans un environnement où chacun peut boire, manger, vivre en bonne santé et mieux être». Outre la présentation par Serge Hercberg, directeur de l’Institut scientifique et technique de nutrition, de l’étude SU.VI.MAX, le colloque a également porté une interrogation sur «Bien se nourrir, est-ce forcément cher ?»